Dimanche 12 juin - La femme qui a beaucoup peché

Vivre la Parole avec les enfants

Dimanche 12 juin 2016

 Note :

1.      Ce document s’adresse à tous ceux qui parlent de la Parole aux enfants (animateurs, catéchètes, parents…) 

2.      Introduire avec un ton qui capte l’attention, qui donne envie de s’intéresser.

3.      Favoriser le dialogue au maximum. Laisser le temps aux enfants de parler, de s’exprimer. L’enfant comprend, apprend, retient mieux en parlant, écrivant, dessinant qu’en écoutant.

4.      Dire les mots importants avec conviction.

Évangile simplifiée de Jésus Christ selon saint Luc ‪7, 36-50.

 

Jésus est invité à manger chez Simon, un Pharisien. Il est à table quand arrive une femme qui a beaucoup péché. Tout en pleurs, elle se met à mouiller de ses larmes les pieds de Jésus. Elle les essuie avec ses cheveux, les couvre de baisers et répand sur eux du parfum.Il se tourne vers la femme et dit à Simon : « Tu vois cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu ne m’as pas versé de l’eau sur les pieds. Mais elle, elle les a mouillés de ses larmes et essuyés avec ses cheveux. Tu ne m’as pas embrassé ; mais elle, depuis qu’elle est entrée, elle n’a pas cessé d’embrasser mes pieds. Tu n’as pas versé d’huile parfumée sur ma tête. Mais elle, elle a répandu du parfum sur mes pieds. »

Voilà pourquoi je te le dis : ses péchés sont pardonnés puisqu’elle a montré beaucoup d’amour. Mais celui à qui on pardonne peu montre peu d’amour.  

Jésus dit alors à la femme : « Tes péchés sont pardonnés. Ta foi t’a sauvée. Va en paix ! »

Après chacune des questions qui suivent laissez le temps aux enfants de s’exprimer.  Les réponses données vous aideront à compléter les réponses des enfants.

Une personne qui a beaucoup péché… vous connaissez non? 

C’est une personne qui a mal agi, une personne qui a causé du tort aux autres.

Ça nous arrive à tous de mal agir ? Comment on se sent ?

On ne se sent pas très bien… On est mal à l’aise… On se sent misérable… … On a un peu peur aussi… En fait, on se sent coupable parce qu’on sait qu’on a fait du mal et qu’on a eu tort de le faire.

Dans l’évangile la femme pleure sur les pieds de Jésus ? D’après vous pour quelles raisons elle fait cela ?

Elle sait qu’elle a mal agi. Elle regrette et veut changer. Elle veut devenir quelqu’un de meilleur. Elle a entendu parler de Jésus, elle a CONFIANCE en lui.  Elle sait que Jésus va l’accueillir.  Sa confiance est totale, elle n’a aucun doute, elle croit en lui.

Et Jésus, comment réagit-il?

Jésus accueille la femme. Il ne la repousse pas… Il ne la juge pas…  Il est TOUCHÉ par la confiance de la femme. Il lui pardonne tous ses péchés.
Jésus dit : « Tes péchés sont pardonnés. Ta foi t’a sauvée. Va en paix ! »

Comment est-ce que cette femme peut nous inspirer ? Peut-on apprendre quelque chose d’elle ?  Qu’est-ce que son attitude nous dit ?

Elle nous dit de ne jamais jamais perdre confiance en Jésus. Et de toujours toujours croire en lui !  Jésus nous aime. Son Amour est plus grand, est plus fort, que nos pêchés.

Quand vous faites des fautes, vos parents sont souvent en colère contre vous n’est-ce pas ? Est-ce que cela veut dire qu’ils ne vous aiment plus ? Non !

Et c’est comme ça que Dieu nous aime, avec miséricorde. Il sait qu’il nous arrive de ne pas toujours faire le bien mais il continue de nous aimer.

Dieu nous aime avec miséricorde. Avez-vous déjà entendu ce mot ? Qu’est-ce qu’il veut dire ? C’est avoir du cœur devant la misère…  Ça veut dire se laisser toucher par la « misère » de quelqu’un. Lorsque quelqu’un fait des fautes, ou me fait mal, je fais tout pour lui venir en aide, j’essaie de lui pardonner et de continuer à être ami avec lui.

Vous savez que le Pape François a décidé que 2016 est l’année de la miséricorde.  Qu’est ce que cela veut dire ?

Eh bien notre Pape Francois aimerait que tous nous puissions avoir le courage de demander pardon et aussi d’avoir la force de pardonner à ceux qui nous ont fait de la peine.
 

Mais vous pensez que c’est facile de faire ce que ce que le Pape et Jésus nous demandent? 

Non c’est difficile d’aimer à la manière de Jésus…. Mais si on fait  CONFIANCE  tout devient possible.

PRIERE :

Jésus,
Je sais que je ne suis pas parfait mais j’ai confiance en toi.
Merci de m’aimer tel que je suis, de comprendre mes faiblesses
Et de sans cesse vouloir me rendre meilleur.
Donne moi d’aimer et de pardonner comme toi.
Amen

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Dimanche 5 juin - La veuve de Naim

Vivre la Parole avec les enfants

Dimanche 5 juin 2016

Notes :

1.      Ce document s’adresse à tous ceux qui parlent de la Parole aux enfants (animateurs, catéchètes, parents…) 

2.      Introduire avec un ton qui capte l’attention, qui donne envie de s’intéresser.

3.      Favoriser le dialogue au maximum. Laisser le temps aux enfants de parler, de s’exprimer. L’enfant comprend, apprend, retient mieux en parlant, écrivant, dessinant qu’en écoutant.

4.      Dire les mots importants avec conviction.

D'après l'évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 7, 11-15)

Jésus arrive dans une ville appelée Naïm. Ses disciples sont avec lui ainsi que beaucoup de monde. Près de la porte de la ville, il voit qu'on transporte un mort pour l'enterrer ; c'était un fils unique, et sa mère est veuve. Il y a beaucoup de monde pour accompagner cette femme. En la voyant, Jésus est très triste. Pris de pitié pour elle, il lui dit : « Ne pleure plus. » Il s'avance et dit : « Jeune homme, je te l'ordonne, lève-toi. » Alors le mort se lève, s'assoit et se met à parler. Et Jésus le rend à sa mère.

Observons en détail Jésus. Que voit-il ?

Il est avec beaucoup de monde. Il regarde autour de lui. Il voit qu’on transporte un mort... C’est un fils unique ; il n’a donc ni frère ni sœur. Il voit la maman du mort ; c’est une veuve. Cela veut dire que son mari est mort lui aussi... Jésus est attentif à tout cela.

Que ressent Jésus quand il voit cette maman ? A quoi pense-t-il en voyant cette scène ?

Il est triste pour cette femme qui n’a plus de mari… qui n’a plus d’enfant… Elle se retrouve seule. Sa vie va être très difficile. Elle n’a plus personne pour prendre soin d’elle. Jésus pense à tout ça…

Jésus ne veut pas laisser cette femme comme ça. Son cœur se serre en pensant au chagrin, à la peine, la solitude de cette femme. Que fait-il ?

Il veut lui rendre son fils... et - … - Oui, il le ressuscite. Il le rend à sa maman.

Et nous est-ce que ça nous arrive d’être touchés par quelqu’un qui a de la peine ?  Comment ? (Accueillir le partage des enfants)

Quand je vois mon copain de classe qui pleure parce que des plus grands se sont moqués de lui…
Quand je vois le chagrin de ma cousine qui a perdu son chien…

Eh bien nous aussi Jésus a mis dans notre cœur des sentiments qui nous permettent d’être attentifs aux autres.

C’est comme cela que Jésus est. Il est attentif à ce qui se passe en nous. Lorsque qu’il voit notre misère, notre peine, notre tristesse, lui qui nous aime comme un grand-frère ça le touche. Il sent ce qu’il y a en nous : il est saisi de compassion, il partage nos chagrins.

PRIERE :

Merci Jésus de nous donner
un cœur attentif à ceux qui sont dans la peine,
un cœur qui peut aimer,
un cœur qui a envie de consoler.

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Dimanche 29 mai - La multiplication des pains

Vivre la Paroles avec les enfants

Dimanche 29 mai 2016

 Note : 

1.      Ce document s’adresse à tous ceux qui parlent de la Parole aux enfants (animateurs, catéchètes, parents …) 

2.      Introduire avec un ton qui capte l’attention, qui donne envie de s’intéresser.

3.      Favoriser le dialogue au maximum. Laisser le temps aux enfants de parler, de s’exprimer. L’enfant comprend, apprend, retient mieux en parlant, écrivant, dessinant qu’en écoutant.

4.      Dire les mots importants avec conviction.

Introduction: Une foule de 5000 personnes suivent Jésus. Il les accueille, leur parle de Dieu et guérit ceux qui en ont besoin.

Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc 9, 12-17 – Texte simplifié :
Le soir arrive, les apôtres disent à Jésus : « Demande à la foule de partir dans les villages où ils pourront trouver à manger. Ici, il n’y a rien. » Il leur répond : « Donnez-leur à manger vous-mêmes. » Mais, ils n’ont que cinq pains et deux poissons.

Jésus leur dit « Faites-les s’asseoir par groupe. » Alors, il prend les pains et les poissons, les bénit, les rompt et demande aux apôtres de les distribuer à la foule. Tous mangent à leur faim et il reste même douze paniers remplis de morceaux.

Jésus enseigne et ensuite nourrit la foule.

Quand nous avons faim, que faisons-nous ?  (Laisser parler les enfants)

Nous cherchons quelque chose à manger : un morceau de pain, un fruit, un biscuit, pour nourrir notre estomac, notre ventre, pour apaiser notre faim.

Pourquoi pensez-vous qu’au lieu de renvoyer la foule,  Jésus demande à ses apôtres de leur donner à manger? Quels sont ses sentiments ? (Laisser parler les enfants)

Jésus est attentif aux besoins des autres. Il se soucie des autres. Après que cette foule l’ait écouté toute la journée, Jésus n’a pas le courage de les renvoyer. Il ne veut pas que toutes ces personnes partent sans avoir mangé.

A part manger, est-ce nous pouvons avoir faim d’autres choses ? (Laisser parler les enfants)

Quand je sors de l’école, j’ai faim de retrouver maman.
Quand j’ouvre un livre, j’ai faim de connaître l’histoire.
Quand je joue avec mon ami, j’ai faim d’amitié.

Qu’est-ce qu’elle remplit cette nourriture-là ? Est-ce que c’est notre ventre ? (Laisser les enfants parler)

Non… La famille, les amis, remplissent notre cœur. Les livres remplissent notre esprit.

Et tous ces gens pourquoi sont-ils restés à écouter Jésus toute la journée ?  De quoi ont-ils faim? (Laisser parler les enfants)

De Jésus lui-même. Ils ont faim de ses paroles qui encouragent, qui donnent de la force, qui disent qu’il les aime.
Nous aussi nous avons faim de paroles. Nous en avons besoin. Nous sommes contents quand maman nous dit « je t’aime ». Nous sommes heureux quand notre ami nous dit « ne t’inquiète pas, tout va aller bien. Je suis là pour toi ».
 

Jésus prend les pains, les bénit et les rompt. Ca vous rappelle quelque chose ? (Laisser parler les enfants)

C’est la messe non ? Jésus sait que nous avons faim de parole et de pain. C’est pour cela qu’il nous laisse Sa Parole et Son Pain. A chaque messe, nous nous nourrissons des paroles de Jésus et de Jésus lui-même. Nous voulons qu’il soit en nous, pour essayer d’être un peu plus comme lui…

Prière :

Jésus, j'ai faim de toi.
Augmente ma faim de Ta Parole,
Augmente ma faim de Ton Pain,
Augmente ma faim de Toi.

 

Nous avons reçu plusieurs réponses dont celles de certains prêtres. Nous les remercions vivement.

Ceci nous encourage beaucoup.

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Sainte Trinité - Dimanche 22 mai

 

Note :

1.      Ce document s’adresse à tous ceux qui parlent de la Parole aux enfants (animateurs, catéchètes, parents…) 

2.      Introduire avec un ton qui capte l’attention, qui donne envie de s’intéresser.

3.      Favoriser le dialogue au maximum. Laisser le temps aux enfants de parler, de s’exprimer. L’enfant comprend, apprend, retient mieux en parlant, écrivant, dessinant qu’en écoutant.

4.      Dire les mots importants avec conviction.

 

Matériel à prévoir : 3 bougies et des allumettes

 

Evangile de Jésus-Christ selon Saint Jean 16, 12-15 - Texte simplifié

Jésus dit à ses disciples : « J'ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l'instant vous n’avez pas la force de les porter. Quand il viendra, lui, l'Esprit de vérité, il vous guidera vers la vérité toute entière. En effet, ce qu'il dira ne viendra pas de lui-même : il redira tout ce qu’il a entendu ; et ce qui va venir, il vous le fera connaître. Tout ce que possède le Père est à moi ; voilà pourquoi je vous ai dit : L'Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître. »

 

 

On est tous chrétien ici n’est-ce pas ? Quand on prie par quoi on commence notre prière ? Par un signe de croix.

Et en même temps qu’est-ce qu’on dit ? Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.

 

Nous nous adressons donc à 3 personnes : Le Père, le Fils et l’Esprit. Cette expression nous la disons à chaque fois que nous prions. Mais qu’est-ce que cela veut dire ? ‘JE CROIS QUE DIEU EST PÈRE, FILS ET SAINT-ESPRIT’

 

On nomme TROIS personnes et c’est UN seul Dieu ! Pour comprendre on va comparer…  (Prenez trois enfants, et donnez à chacun une bougie. On allume les bougies.)

Combien de flammes y a-t-il ? Il y a TROIS flammes.

(Maintenant invitez les enfants à se rapprocher les uns des autres, à tendre le bras qui tient la bougie, de façon à réunir les trois flammes.)

Et maintenant combien de flammes y a-t-il ? Il n'y a plus qu'UNE flamme.

Trois bougies, une seule flamme : "TROIS Personnes, UN seul Dieu". Qui sont ces trois personnes ? Le Père, Le Fils, Le Saint-Esprit.

 

Est-ce que chacun d’eux a un rôle particulier ? Lequel ? (Attendre les réactions)

-          Le Père, c’est lui qui a créé le monde.

-          Le Fils, c’est Jésus, qui est venu nous dire que Dieu nous aime et qui nous montre le chemin pour être heureux.

-          Le Saint-Esprit, c’est celui que Jésus nous laisse pour nous aider à aimer les autres en me donnant la force pour le faire et en me soufflant de bonnes idées.

Il y a trois personnes en un seul Dieu : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. On peut prendre une autre image ? Le soleil…

 

Qu’est-ce que le soleil ? (Attendre les réactions) Un astre… Une étoile… Il est source de lumière…

Que font les rayons du soleil ? Il nous éclaire, il nous illumine…

Quand il y a beaucoup de soleil en été qu’est-ce qu’on ressent ? La chaleur… On a chaud ! Le soleil nous réchauffe aussi…

 

Le Soleil : C’est Dieu. Il est source de lumière, source d’amour.

Les Rayons : C’est Jésus. Il nous éclaire et nous montre le chemin.

La chaleur : C’est le Saint-Esprit. Il nous réchauffe de sa présence.

 

Et est-ce que les rayons et la chaleur sont séparés du soleil lui-même ? Non… Les rayons et la chaleur viennent tous les deux du soleil ! De la même façon, Jésus et l’Esprit, jaillissent eux aussi de Dieu, le Père, qui est la source.

 

(Inspiré de prierenfamille.com)

 

 

PRIERE :

Dire lentement la prière. L’animateur va gestuer au fur et à mesure le signe de croix. Les enfants répètent après l’animateur.

 

Au nom du Père,

Merci mon Dieu de m’ aimer autant !

Au nom du Fils,

Jésus, tu es la lumière qui éclaire mon chemin.

Au nom du Saint-Esprit,

Donne moi la force d’aimer ceux qui m’entourent

 

 

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Dimanche 15 mai - Actes des Apotres 2, 1-11

 

Note pour l’animateur :

1.      Lire et introduire avec un ton qui capte l’attention, qui donne envie de s’intéresser.

2.      Favoriser le dialogue au maximum. Laisser le temps aux enfants de parler, de s’exprimer. L’enfant comprend, apprend, retient mieux en parlant, écrivant, dessinant qu’en écoutant.

3.      Dire les mots importants avec conviction.

 

Lecture du livre des Actes des Apôtres 2, 1-11 - Texte simplifié

C’est le jour de la Pentecôte. Les apôtres sont réunis tous ensemble. Tout à coup, un bruit vient du ciel, comme un coup de vent violent qui remplit toute la maison. Les apôtres voient alors apparaitre des langues, comme des flammes de feu. Ces petites flammes se séparent et se posent, une à une, sur chacun d'eux. Là, tous sont remplis de l'Esprit Saint ! Alors, ils sortent de la maison et se mettent à parler des merveilles de Dieu dans toutes les langues. Tous ceux qui étaient dans la ville de Jérusalem ce jour-là, ont entendu et ont compris ce que disaient les apôtres !

Introduction : C’est à Jérusalem. Il y a beaucoup de monde parce que c’est la fête de la Pentecôte ! Une grande fête pour les Juifs où les gens viennent prier au Temple. Jésus, lui, est retourné au ciel, près de son Père. Mais avant de partir, il a promis à ses disciples : « Vous allez recevoir une force, celle de l’Esprit Saint. » (Ac 1, 8). Les apôtres sont enfermés dans une maison parce qu’ils ont peur des Juifs et des Romains. Mais ils prient aussi et attendent ce que Jésus leur a promis… 

Et qu’est ce qui se passe tout à coup ? (Attendre les réactions) Un grand vent, des flammes… et les Apôtres sortent de la maison, ils n’ont plus peur. 

C’est l’Esprit-Saint qui est venu ce jour-là dans le cœur des apôtres, comme Jésus leur avait promis. Il les a poussés hors de la maison. L’Esprit-Saint leur a donné la force d’aller parler de Dieu et de Jésus à tout le monde.  

Est-ce que lorsque l’Esprit Saint se manifeste il fait toujours autant de bruit, comme raconté dans l’Evangile ? (Attendre les réactions) 

Pour bien comprendre, on va réfléchir grâce à quelque chose que vous connaissez bien : le vent !

Que fait le vent ? Il souffle…

Est-ce que je le vois ? Non, mais je sais qu’il est là.

Est-ce que je peux l’attraper ? Non, mais je le sens.

Comment est-ce que je sais qu’il y a du vent ? Je vois les feuilles des arbres qui bougent… je le sens dans mes cheveux… je vois le cerf-volant qui vole… ou les voiles du bateau qui gonflent…

Et pendant un cyclone, comment est le vent ? Il souffle très fort !

Le vent, on ne le voit pas. Des fois il est léger, on ne le sent pas. Des fois il est plus fort et on voit bien ce qu’il peut faire autour de nous (bouger les arbres, avancer un bateau...). Eh bien, L’Esprit Saint il est comme le vent !

L’Esprit il est dans mon cœur. Parfois je ne sais même pas qu’il est là… Parfois c’est peut-être l’Esprit qui me fait agir ? Mais petit à petit je peux apprendre à l’écouter, à le reconnaitre… Il me dit de faire des choses et moi je n’ai pas envie ! Je discute avec lui ! Et puis je réfléchis… et je me dis pourquoi pas … et je lui dis aide-moi.

Et dans ma vie aujourd’hui, qu’est-ce que l’Esprit Saint peut me donner la force de faire ? (Demander des exemples) me relever quand je suis tombé ; aller vers mon ami à qui je ne parle plus depuis ma dispute ; me guider vers les personnes qui peuvent m’aider ; m’aider à travailler, à rendre service quand je n’en ai pas envie ; me donner le courage de parler de Jésus à mon ami…

Commencer cette prière avec les enfants et leur demander de la compléter

PRIERE :

Esprit Saint,
Souffle sur moi
Donne-moi la force de parler de Dieu.
Esprit Saint,
Souffle sur moi
Donne moi la force de pardonner à mon copain
Esprit Saint
Souffle sur moi
Donne moi la force de …..